Aujourd'hui, en fait ce soir, c'était une soirée super intense pour moi. Disons que j'avais vraiment envie de me laisser aller aujourd'hui et de vraiment planer comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps. Mon mari était tout à fait également dans la même phase que moi aujourd'hui. Tout le monde avait en fait envie de s'amuser. Mais disons que pour moi, c'était un peu plus intense. Disons que ce matin, je m'étais lever avec une envie folle de complètement tout laissé aller ce soir et de ne pas prendre ma bouteille pour craché dedans les shooters que les clients nous offrait pour vraiment pouvoir laissé croire aux clients que je prenais un shooter avec eu , mais en fait après je prenais une gorgée de bière , mais en fait je crachais dedans le shooter.
Ce soir, ce n'était pas comme cela. Je venais de conclure l'un des plus grands deals que j'avais pu faire jusqu'à aujourd'hui. Et j'avais envie de célébrer... Disons que je ne ressemblais pas du tout aux femmes de mon âge. Alors j'avais décidé aujourd'hui en une petite robe noire sans bretelle et aussi avec des franges , mais talon haut noir habituelle. Et disons que j'avais fait mon make-up comme mon mari adorait que je le fasse. J'avais envie de célébrer avec lui aussi durant la soirée. Surtout qu'il n'avait pas à être à la porte aujourd'hui. La soirée commença tôt pour moi et lui... Disons que je n'avais pas du tout les idées en place durant toute la soirée. J'avais pris plusieurs verres et surtout que j'avais fumé avant d'arriver au bar et que j'avais pris un petit quelque chose pour vraiment planer plus tard dans la soirée. Alors ce soir, je n'avais pas à monter sur scène avec mon groupe, j'étais plutôt danseuse aujourd'hui. Et disons que je flirtais beaucoup avec les hommes autour de moi sans même m'en rendre compte. Un jeune homme un peu trop intense essayait par tous les moyens de m'embrasser. Alors lorsque je suis monté sur le bar, le jeune homme était près du bar. Je ne le calculais même pas au début, mais rapidement, il finit par simplement m'attraper une jambe et commencer a doucement la caresser.
Je bougeai pour me libérer, mais il insistait... Je finis par sortir de mon personnage et de simplement lui dire assez fort qu'on l'entendit dans le micro que je portais a la main de me lâcher. Je n'avais pas vu qu'une amie qui allait être l'un de celles qui allaient pouvoir me remettre sur le droit chemin se présenta dans le bar aujourd'hui. Cela faisait un moment que je ne l'avais pas vue. Disons que j'avais été très occupé et je n'avais pas pu aller la voir aussi souvent que je le voulais, mais là, elle était là au bon moment.
Lorsque je voulus faire comprendre au jeune homme de me lâcher. Je fini par faire un mouvement dangereux pour me libérer, mais disons qu'il ne semblait pas comprendre...
Ça faisait maintenant un petit moment que j’avais pris mon boulot dans ce bar. Ce qui devait être un tremplin vers une carrière devenait un façon de gagner sa vie plutôt amusante, et plus permanente que je l’aurais cru. La plus part des filles étaient cool, j’aimais bien mon amie Gypsie, même si elle est plus âgée, c’est comme la grande sœur que je n’avais jamais eue.
J’ai toujours été la plus âgée de mes jeunes sœurs, et j’ai fais ce qu’il fallait pour apporter de l’argent à la maison, c’était agréable des fois de lâcher prise, et de se dire qu’on pouvait avoir une grande sœur sur qui compter. Mais pas ce soir, je crois que c’était au tour de gyspie de lâcher totalement la pression.
En la voyant arrivée guillerette avec son homme, je sais qu’elle a du demander l’autorisation à Chuck, mais ça va faire bizarre au bar. Elle était belle et pétillante, comme toujours, ou du moins plus encore que d’habitude. Moi j’avais un short très court et une brassière qui me permet de danser avec pas mal d’aisance, un collier noir qui rehaussait le tout ce soir.
- Ça va ma belle ?
Quand je voyais que ma collègue était un peu dépassée, je l’aidais à servir ses verres, et essayais de la laisser profiter de la soirée. Je crois que ce soir elle voulait être de l’autre côté du bar, elle aurait du me le dire avant, j’aurais appelé un fille pour la remplacer. En tout cas j’essaie de travailler pour deux, et fait le service en dansant, même si c’était Gypsie qui gonflait l’animation de la soirée.
Un habitué un peu éméché essayait de toucher ma copine, un peu trop même, parce que je devais venir aider Gypsie pour que ça ne dégénère pas. Le patron ne veut pas qu’on remmène de copain au bar pour ne pas faire d’histoire, alors quand le mari de ma collègue arrivait, je lui faisais signe d’emmener l’homme agressif.
- Je m’occupe de Gypsie.
Je lui fais un signe de la tête pour lui montrer qu’il ferait mieux de sortir pour l’instant le temps que la température redescende. Un videur arrivait de toute façon pour aider les deux homme à trouver la sortie, et j’attrape la main de ma collègue pour la serrée un peu dans la mienne. Un autre fille venait de prendre le relai en annonçant une tournée gratuite pour faire changer l’ambiance.
Moi j’essaie de tirer un peu gypsie en arrière, de l’aider en espérant qu’elle s’appuiera sur moi pour la trainer un peu à l’écart, si je la déposais dans la réserve, peut être que je pourrais la laissé se reposer, au moins quelques minutes.
- Prends ce verre d’eau, tu as besoin d’autre chose que de la bière
J'étais vraiment bien présentement je m'amusait totalement. C'était ce qui avait de plus génial pour moi. Mise a par ce jeune homme qui me dérangeait vraiment ma journée était vraiment très bien présentement. Je ne savais pas du tout quoi dire présentement a mon amie. Moi je m'amusais et les clients s'amusaient avec moi également a par un jeune homme qui était un peu plus collant que les autres. Je regarda alors mon amie lorsqu'elle fini par simplement me demander : «- Ça va ma belle ? »
Je fini par simplement lui dire alors.
- Je vais très bien et toi ?
Je me retrouvais alors avec mon amie derrière le bar ne sachant pas du tout pourquoi elle venait m'aider. Puisqu'elle ne devait pas travailler ce soir a ce que je savais. J'avais prit le chiffre ce soir. Même si cela faisait plusieurs chiffre en ligne que je faisais. Mais après le deal que je venais de conclure j'allais pouvoir ralentir un peu . Car disons que c'était le cas que je voulais ralentir au bar. Mais je ne voulais pas arrêté complètement. On pouvait clairement voir dans mon visage que j'étais un peu émécher, mais disons que je continuais a bien me tenir quand même. Je regarda alors mon amie une fois qu'elle avait fait signe a mon mari qui était aussi doorman au bar pour qu'il s'occupe du jeune homme qui était un peu trop invasif , même si oui mon travail était vraiment de séduire les clients en fait et de leur faire croire qu'il était le seul a mes yeux même si j'étais marié depuis un bon moment a l'homme de ma vie.
- Julien : Ne te la met pas a dos , surtout pas quand elle est dans cette état. Je connais ma femme et je sais qu'elle ne te le pardonneras pas.
Dit mon mari avant d'aller aider ces collègues a sortir les hommes qui était maintenant rendu un peu insistent sur d'autres Coyotes qui m'avaient remplacer sur le bar. Même si pour moi tout allait bien pour Arabella ce n'était pas du tout la même chose. Selon elle j'en avait fait trop. Disons que j'avais vraiment un peu trop but oui , j'avais prit quelques chose d'autre aussi. Mais pourquoi elle s'occupait de ce que je faisait au bar maintenant. Ce n'était pas la première fois que j'avais prit quelque chose avant de venir et aussi que j'avais but autant durant la soirée.
- J'ai besoin de quelque chose de plus fort que de l'eau...
Dis-je en refusant son verre d'eau. Je ne m'en étais pas rendu compte , mais j'avais les mains qui tremblaient seul. Je me demandais vraiment ce que je pouvais faire maintenant pour me sortir de cette situation. Si j'avais les mains qui tremblait ces que plus la soirée arrivait vers sa faim plus se que j'avais prit plutôt avant de venir travailler était entrain de s'éliminer de mon système. Et mon corps m'en demandais plus. Mais je ne voulais pas en prendre plus donc il me le faisait savoir par ses tremblements. Mais je savais comment me contrôler quand je prenais quelque chose c'est parce que j'avais envie de m'amuser , mais je pouvais arrêté dans prendre quand je le voulais.
Ça n’était pas la première fois qu’une soirée au bar prenait de l’ampleur, et qu’il y avait plus d’ambiance qu’on ne pouvait le gérer. Pourtant cette fois, je sentais que quelque chose était différent. L’homme qui essayait d’attraper la jambe de mon amie, c’était surement juste un déclencheur, parce que le problème était plus profond.
Sans arrêter la soirée, j’avais entrepris de conduire Gypsie dans le fond en laissant d’autres filles s’occuper des clients. D’ailleurs quand elle me dit maladroitement qu’elle va bien, je n’en croyais pas un mot. Une fois ma copine un peu alcoolisée posée, assise sans trop d’équilibre sur un meuble de la réserve, je la surveille tout en sortant mon téléphone de mon sac.
- J’appelle Cassandra, je crois qu’elle fait rien ce soir.
Je n’ai pas envie que Gypsie remonte sur le bar, pas comme ça, mais il faudrait bien qu’on trouve une autre solution. Je laisse mon téléphone composer le numéro, et le tends vers mon oreille en attendant que notre collègue réponde. Ça n’était pas son horraire, mais quand il fallait dépanner, on s’arrangeait entre fille. Je fais un signe à Gypsie pour lui montrer que ça répondait, et que j’étais en train de gérer.
- Cassie ! Oui ma chérie, c’est moi. Tu peux ramener tes jolies fesses au bar ? Gypsie se sent pas bien, ça serait cool si tu pouvais finir la soirée ici. Je te le rendrai, promis, ouai t’inquiète, elle va bien … mais … yes, dès que tu peux, alors on t’attend.
Avec une fille en plus pour terminer la soirée, je pourrais essayer de voir quoi faire avec ma collègue qui devenait presque tremblante. D’ailleurs, après avoir ranger le téléphone et mi à l’écart ce verre qu’elle ne boirais pas maintenant, je me rapproche de ma collègue toujours vacillante, pour carrément l’aider à se poser au sol.
- Gyps … laisse moi t’aider, allez viens là.
Tout en essayant de soutenir son poids, je l’aidais à descendre, l’assoir et trouver une position stable entre le sol et un coin de mur. Elle n’avait pas l’air ivre, et pourtant pas au meilleur de sa forme. On a déjà fait des soirées plus qu’arrosée, et je crois pouvoir dire que j’ai vu la collègue dans un état d’ivresse avancé, c’était différent.
Récupérant le verre d’eau de tout à l’heure, je m’agenouille pour le tendre aux lèvres de Gypsie, et le garder là jusqu’à ce qu’elle daigne vider son contenu. Toute façon je resterais le temps qu’il faudra, et je voyais bien que mademoiselle serait trop faible à cet instant pour me repousser de force.
- Allez, boit ça, tu auras autre chose après, si tu es sage.
Derrière nous on entendait la musique, les cris, l’ambiance restait au rendez vous. Et même si on pouvait dans l’écho entendre des clients scander le prénom de Gypsie pour qu’elle revienne, il était hors de question que je la laisse retourner dans cet état. J’attrape sa main qui tremble, je ne sais pas si elle a froid, ou si elle était malade à ce moment-là, mais elle n’a pas l’air en forme.
- Cassandra va venir te remplacer ce soir. Et moi je vais rester avec toi.
Je ne voulais pas que personne ne me materne comme Arabelle le faisais présentement. Disons que je me sentais pas vraiment bien présentement et que je ne pouvais pas du tout me résoudre a ce que quelqu'un prenne ma place. Je voulais simplement m'amuser ce soir. Disons que j'avais besoin de cela présentement. Car je ne voulais pas du tout dire en fait ce qui se passait présentement. Je regarda alors la jeune femme et fini par simplement répondre en essayant de me lever...
-Je suis capable de finir mon travail... Laisse moi finir mon quart de travail.
Dis-je en essayant de me lever , mais disons que je ne portais plus vraiment sur mes jambes... La dose que j'avais prise avant mon quart de travaille faisait déjà beaucoup moins effet et cela même si j'avais prit beaucoup plus qu'à mon habitude. Mais j'avais simplement envie de m'amuser présentement. Disons que je n'avais pas eu cette urgence de simplement m'amuser pour un soir depuis un moment. La dernière fois que j'avais eu ce besoin disons que la soirée avait un peu disons mal tournée. Et je m'étais retrouver avec une cicatrice au niveau de la cheville.
-Je ne veux pas de ton verre d'eau et aussi je ne veux pas du tout que tu t'occupe de moi.. Je suis assez grande pour s'avoir ce que je fais...
Dis-je en repoussant mon amie qui essayais que simplement me faire m'assoir et que je puisse tenir assise seule. Ce qui fit que j'ai envoyer valser le verre d'eau qu'elle tenait dans les mains...Car disons que je vacillait une fois que je me retrouvais assise sur quelque chose. Et comme je n'avais rien manger de la journée ce qui était très courant quand je me retrouvais dans cette état mon mari l'avais dit tout a l'heure a Arabelle , elle tombait royalement sur le système présentement...Elle ne m'avais jamais vue dans cette état... C'est qu'elle ne venait pas vraiment a nos soirée du gang régulièrement, car elle ne connaissait pas cette partie de moi. Disons que je ne lui avais pas encore laissé voir mon côté tornade.. Je lui avais simplement laissé voir mon côté bonne fille...
Je n'avais pas vraiment besoin d'une baby-sitter... Je savais très bien comment me remettre sur mes pieds.... Il fallait simplement que j'atteigne mon sac et que je prenne quelque chose... Je me retrouvais maintenant debout en fait presque debout... Ceux qui me connaissait très bien présentement savaient qu'il ne fallait pas se mettre sur mon chemin quand j'étais dans cette état entre deux doses... J'avais pas de problème de consommation en fait j'arrêtais quand je voulais , mais depuis un moment j'avais besoin de libérer ce que j'avais en moi... Je retrouvais vraiment mon grand-père quand j'étais dans cette état... Il avait ses moments de rage intérieur lui aussi.. Je ne pouvais pas trouver le nom pour ce genre de dédoublement de personnalité... Mais normalement cela changeait quand j'étais entrain d'écrire une chanson qui devenait trop personnelle...
Je titubais en me tenant sur les murs et les meubles qui m'entourais ... Julien a du savoir ce que je voulais , car il m'apporta mon sac... Il savait ce que mon sac a main contenait. Je ne savais pas si Arabelle allait me laissé prendre ce que j'avais besoin dans mon sac... Mais je savais que tout ce calmerais après pour moi... Oui je devais manger aussi , mais ce n'était pas du tout une priorité pour moi... Je devais premièrement prendre ce cachet... Alors je fini par difficilement ouvrir mon sac avec les mains qui tremblait due a la chute libre que j'étais entrain de me prendre présentement... Je fini par retrouver le petit sachet que je voulais qui contenait ses trois comprimer blanc que je j'avais garder pour moi pour cette soirée en fait soirée et nuit vue l'heure...
J'étais entrain d'ouvrir le sachet en me balançant d'avant en arrière... Ce qui rendait la situation plus difficile. Je ne savais pas du tout si Arabelle avait remarquer ce que j'étais entrain de faire...
Tu peux rappeler Cassandra , elle n'aura pas a venir ce soir... Laisse moi prendre quelque chose dans mon sac et tout ira bien après...
Dis-je en réussissant a ouvrir le sachet en parlant pour qu'elle ne remarque pas ce que je prenais vraiment....Disons que je ne voulais pas du tout qu'elle envoie valsé les comprimés ou essaie de les faire disparaitre. Je voulais vraiment profiter de ma soirée... Et j'avais un autre sachet pour mon conjoint qui n'était pas du tout dans son état normal lui non plus... Mais il n'avait pas aussi forcer la dose que moi ce soir...
En conduisant Gypsie dans l’arrière-salle, je vois bien qu’il y a quelque chose qui n’est pas comme d’habitude. Même si ça n’était pas la première fois qu’on se retrouverait peut-être un peu ivre, soit d’alcool, soit juste de bonne humeur, et peut être un peu plus cette fois ci. Mais ça n’avait jamais influé sur le bar, pas à ce point.
Sans attendre plus longtemps j’avais appelé une fille pour prendre le reste de la soirée, parce que c’était mort pour Gypsie, je ne la laisserai pas y retourner comme ça. Même si dans la salle on pouvait entendre des gens huer, et crier le nom de ma copine pour qu’elle revienne au bar, je me contente de faire une grimace.
- Regarde, tu ne tiens même pas debout !
Quand la serveuse essayait de montrer qu’elle allait bien, c’était pire encore. Je la pousse un peu pour la faire tomber sur le canapé derrière elle, même si ça la fait grogner. La fille que j’avais appelé serait vite là, et je pourrais m’occuper de Gypsie plus calmement. D’ailleurs son mari, mec, copain, je sais plus vraiment, mais ils sont ensemble. Ce gars arrive pour donner son sac à la brune sans vraiment paraitre choqué de son état.
- Merci pour elle, mais je vais gérer. Ça va bien se passer.
Même si elle avait renversé mon verre d’eau en pestant, je n’abandonnerai pas aussi facilement. Je n’aidais pas Gypsie à rejoindre son sac, il fallait qu’elle se rende compte aussi de l’absurdité de son état. Alors quand elle arrive finalement à destination avec du mal, je la laisse attraper son sachet avant de lui prendre des mains, sans trop de mal vu son équilibre actuel.
- Je suis nounou quand je ne travaille pas au bar. J’ai l’habitude des enfants capricieux.
Je dis ça d’un air tout à fait sérieux en lançant le sachet au mari qui n’avait pas tout ses réflexes non plus. Il attrape ce dernier en vol, mais difficilement. Je continue de fixer ce gars avec des yeux un peu plus sévère cette fois.
- C’est une partie privée du bar, je vais vous demander de sortir maintenant. Je vous la rendrai quand elle sera capable de marcher toute seule.
Avec un mouvement ferme de la tête je fais un mouvement dans la direction de la porte, une façon expéditive de dire au gars qu’il devait partir maintenant. De plus, on entendait la salle acclamé la nouvelle serveuse qui venait d’arriver. Le prénom sur leurs lèvres avait rapidement changé, ils acclamaient cassandra d’un coup, et j’étais soulagé.
Je me mets à genou vers Gypsie qui ne tenait clairement plus sur ses jambes. Elle avait l’air pitoyable, plus du tout sexy et pleine d’allant comme elle semblait toujours le penser. Je me demande même si je ne devais pas pousser son sac avant qu’elle ne vomisse à l’intérieur. Je me contente d’essayer de la faire tenir assise contre le mur et lui donne une tape pas très forte, du revers de la main sur sa joue.
- Je ne sais pas ce qui t’arrive ce soir, mais c’est pas un sachet magique qui va arranger ça. Je suis là moi.
Je me retrouvais assise sur l'un des meuble du back store, mais disons que je n'avais pas du tout envie d'en rester la. J'avais vraiment envie de tout cassé ce soir et de m'amuser , mais mon amie en avait décider autrement. Et cela n'était pas du tout mon genre de me laissé faire , mon mari le savait. Car je lui avait déjà fait subir ce que je faisais toujours aux gens qui essayaient de m'aider alors que je ne le voulais pas. Disons que pour moi c'était quelque chose qui me tombait vraiment sur les nerfs... Et si Arabella continuait a me pousser a me calmé elle allait subir ce que je pouvais devenir si elle allait trop loin.
Je me foutais présentement de ne pas tenir debout , mais disons que c'est dernier temps je voulais vraiment oublier ma vie. Disons que j'avais vraiment des histoires personnelles a régler , dont ce que je ressentais toujours a cette période de l'année ou mon père est mort et que disons comme je n'avais que 2 ans et bien j'en ai aucun souvenir.
Je n'ai jamais été capable de l'exprimer ce que je ressentais , mais disons que a cette période de l'année chaque année je dérapais. Et l'an passé j'avais même passé proche de peut-être y rester , car j'avais fini au urgence avec de la vitre dans la cheville et j'en portais encore une énorme cicatrice. Justin savait que je devais vraiment extériorisé ce que je ressentais a propos de mon père biologique , mais disons que pour moi c'était difficile a faire comme je n'avais aucun souvenir a par la peur d'être abandonner de tous maintenant , car lui m'avait abandonné.
- Putain.... laisse moi tranquille tu veux...
Dis-je quand la jeune femme me fit la remarque que j'étais a peine capable de marcher. J'avais vraiment l'intention de rester ce soir et de ne pas du tout rentré a la maison tout de suite. Personne de la famille était rentré aujourd'hui encore. Justin était la et ma sœur et son mari était toujours la. Nous avions eux un énorme deal pour le gang et nous en étions tous heureux et nous avions vraiment envie de nous amuser..
En fait l'état dans laquelle j'étais présentement ce n'était pas a cause de l'alcool , car j'avais a peine but c'était bel et bien a cause de ce que je prenais. C'est a dire le comprimer que j'avais prit en après-midi. Je savais que je devais en prendre un autre pour pouvoir être encore en forme. Justin était près de moi et il savait ce qu'il me fallait , mais la chute libre dans laquelle j'étais présentement allait aller de pire en pire. Les souvenirs, les flash back de sa mort , etc. Allait revenir assez rapidement. Et je ne voulais pas du tout ressentir de nouveau ses émotions et je ne connaissais pas encore assez Arabella pour me confier a elle sur quelque chose d'aussi fort et aussi encré en moi que je ne me rendais même plus compte qu'elle était la.
- Ne me touche pas et ne parle pas a Justin ainsi...
Dis-je lorsque la jeune femme prit ce que j'avais en main. En fait le sachet dans lequel il fallait que je prenne un comprimer ,car j'avais vraiment de besoin de cette médication pour me calmé et réussir a passé au travers ce mois très difficile pour moi. J'étais vraiment en chute lire et j'avais peur de ce qui pouvais arriver. Car je savais que cette chute libre était quelque chose de mauvais.... Je regarda mon amie droit dans les yeux. Pour lui faire comprendre que j'étais plus que sérieuse et qu'elle devait me laissé faire ce dont j'avais envie. Je regarde mon amie et lui dit...
- Rend moi ce sachet... Tu ne peux pas comprendre ce que je vis... Tu ne pourra jamais comprendre ce que ma vie est ... Alors rend moi le...
Mon mari s'avançais doucement vers moi pour me rendre mon sachet. Mais je savais que mon amie allait surement faire qu'il ne serait jamais capable de le faire. Arabella connaissait que ma vie du côté du bar , du fait que j'étais aussi une Zétà , que j'avais été l'une des présidente également. Mais elle ne savait pas que j'étais membre d'un gang de rue et cela depuis ma naissance. Que J'étais l'une des sang pur si nous pouvions le dire ainsi. Puisque disons que j'étais la fille de l'un des grand trafiquant. Et que j'avais prit la place de mon père. Mon grand-père avait fait de la prison , je n'avais pas encore été pincé par la police , car nous avions beaucoup de façon de faire et de très bon avocats qui faisait qu'on s'en sortait toujours... Ce qu'elle ne savait pas c'est que j'avais vue plusieurs personnes que j'aimais vraiment tomber sous les balles durant une guerre de gang... Je ne sais pas si elle pouvait seulement imaginé ce que c'était de courir entre les rafales de balle qui était tiré de partout pour sauvé ta propre vie.... Devoir tenir une armes dans tes mains et tiré avec une arme pouvoir s'en servir et ne pas seulement la tenir a la main...
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Lun 20 Mar - 4:18
